Chapitre 3 : Cours du soir

13/03/2021

Je ne sais pas si c'est l'odeur de foutre, le fait qu'un ados se soit masturbé devant moi ou ma frustration du matin, mais je me sentais devenir la reine des salopes. Ou peut être bien que tout ceci n'étaient que des excuses pour justifier un comportement qui était déjà le miens et ne faisait que se manifester davantage.

C'est assez étrange ce sentiment de se sentir très salope dans une situation et de relativiser en même temps en se disant que cela restait finalement très sage comparé aux actrices porno ou aux prostituées. Moi je ne trompais pas mon mari. Enfin...

Ici, on ne parle que de goûter le sperme d'un autre. Et quand bien même j'avais pensé ce jeune -entre autres- pendant mes dernières masturbations, il n'en demeurait pas moins un simple fantasme.

Mais, le fait est que je me suis assez vite retrouvée penchée en avant, cambrée, léchant du sperme sur le dossier d'une chaise, dans une salle de cours de mon lycée.

Ma main droite s'activait frénétiquement sur mon clito, insérant de temps à autre deux doigts dans ma chatte, laissant alors mon pouce effleurer mon mont de Vénus.

Ma main gauche, elle, maintenait fermement la chaise sur place afin que je ne perde l'équilibre.

Quant à ma langue... Elle glissait, sans pudeur, de haut en bas et de bas en haut, sur le bois de la chaise, récupérant le maximum de ce jus à chaque passage.

La chaise fut rapidement nettoyée, mais je continuais, comme si je m'occuppais d'un sexe très rigide, comme si plus de foutre allait en jaillir.

Et c'est ce que j'aurais voulu.

Du sperme.

J'en venais à me maudir d'avoir essuyé le sol avec du papier. Je l'aurais volontier lécher, dans mon état d'excitation actuel. Dans d'autres circonstances, je n'aurais pas osé y posé le doigt, mais les règles qui régissaient ma bonne conduite n'existaient plus à ce moment.

J'aurais adoré lécher le sperme sur le sol, oui, comme une chienne affamée !

"Oh putain que c'est bon d'être une salope !"

Je me laissais crier, me sachant isolée des autres classes et loin des étudiants et du brouhaha extérieur.

Je me sentais mouiller abondemment, plus que d'habitude : j'allais gicler, comme une femme fontaine.

C'était une chose très rare pour moi, mais je connaissais cette sensation : le bout des doigts qui râclent ma grotte dans un clapotti bruyant et la moiteur sur ma main comme si je venais d'uriner dessus.

"Oh mon dieu ! Ouiii !"

Et, comme je l'avais anticipé : je jouis, en femme fontaine, laissant échapper deux grands jets de cyprine sur le sol, exactement à là où mon prédescesseur avait lâcher sa semence.

Ce n'était pas beaucoup, au final, mais c'était suffisamment rare pour m'impressionner moi-même. Et même : ressentir une certaine fierté.

Je me laissais tomber lourdement sur le bureau, essouflée, souriante, heureuse.

L'excitation maintenant retombée, je m'imaginais mal lécher ma cyprine par terre.

J'hésitais à retourner chercher du papier pour l'essuyer puis me dis que cela passerait facilement pour de l'humidité, fréquente dans ces préfabriqués.

Me revoilà traversant la cour, me dirigeant vers le bâtiment administratif pour y prendre un café.

J'avais la nette impression que beaucoup de regards me suivaient, que j'étais le centre d'attention de plus de monde que d'habitude... Et pour cause, je m'en rendi compte en baissant les yeux : la transparence de mon décolleté ne laissait aucun doute quant à l'absence de soutien-gorge !

Mes tétons pointaient à travers le tissu noir et une large partie de leur oréole était visible sous les arabesques de résille. Plus rien ne cachait mon "entre-seins" non plus, me donnant l'impression soudaine d'être torse-nu.

Je dois avouer que j'étais un peu gênée, je n'avais pas imaginé à quel point ce haut pouvait être sexy, sans soutif et je me mis à réfléchir à où pouvait se trouver Sam maintenant pour lui dire de me le rendre.

Je me sentis soulagée une fois dans le bâtiment administratif quasiment vide à cette heure-ci.

Seul le directeur était là.

Il me dévisagea en me souriant lorsque j'entrai dans la salle de détente. Encore une fois je me sentis rougir.

Ce bel homme ne me laissait pas indifférente et mon excitation n'étant pas partie bien loin, revint au galop !

Dos à lui je préparai la cafetière, je me surpris à onduler légèrement les fesses, sachant ses yeux posés dessus. Je l'imaginais venir se coller derrière moi et sentir son sexe se frotter, mais il était de tout évidence beaucoup trop sage pour cela.

Lorsque le café fut prêt, il m'en demanda une tasse et nous avons commencé à discuter, de tout et de rien.

Son regard ne se détachait pas de ma poitrine, il ne cherchait même pas à s'en cacher.

Quant à moi, je sentais ma minette s'humidifier.

Soudainement et alors que la conversation n'avait rien à voir, il me dit :

"Vous avez de très jolis seins Rosie".

Je me senti rougir instantanément. Prise de court, je m'entendis répondre bêtement :

"Vous aussi... Heu, vous êtes très mignon.

- Vous devriez vous habiller comme cela plus souvent, cela met en valeur votre pointrine dont vous pouvez être fière.

- Merci monsieur... J'avais peur que ce soit un peu... trop.

- Non Rosie, c'est parfait ainsi. Et puis les soutiens-gorge c'est mauvais pour la circulation, non ?

- Oui, vous avez raison..."

Mon dieu, pour quelle cruche avais-je du passer !

La discution pris fin poliment, j'avalais mon café devenu presque froid et je retournais vers le bâtiment principal où se trouvaient la plupart des étudiants.

Dès mon entrée dans le couloirs qui faisait office de salle d'étude, le regard, voir la bouche entre-ouverte de certains étudiants me rappela dans quel accoutrement je me trouvais !

"Et puis zut, ils me trouvent sexy, tant mieux !"

Je me fofilais entre eux pour essayer de trouver Sam ou quelqu'un de sa bande de copains lorsque je sentis une main me passer sur les fesses !

Il ne me fallut qu'une seconde pour me retourner mais impossible de savoir qui était l'auteur de ce geste que, malgré mon excitation, je trouvais déplacé.

Peut être était-ce inintentionnel après tout.

Mais après quelques mètres à avancer laborieusement, c'est une véritable fessée que je reçue sur ma fesse droite et qui me fit sursauter ! Et là encore, impossible de savoir qui cela pouvait être et je ne m'imaginais pas crier au scandale au milieu de la foule, le pervers n'en serait pas démasqué pour autant.

De plus, et c'est ce qui m'inquiètait, les élèves derrières moi n'étaient pas les mêmes que lors de mon précèdent attouchement, puisque j'avancer "à contre-courant", si on puis dire.

Qu'importe, si mon autorité en prenait un coup, mon égo, lui, était flaté de cette situation. Est ce que toutes ces minettes de 15-25 ans se prennent des mains au cul ? Est ce que beaucoup des mères de ces gamins se seraient faites peloter à ma place ?

Oui, d'accord, j'admets que cette idée est un peu présomptueuse, mais elle a le mérite de me faire garder ma bonne humeur.

Dans un coin du couloir je pu voir passer Quentin qui rentrait dans une classe proche, au moins j'étais rassurée qu'il ne me voit pas sans mon soutien-gorge !

Plus en avant, les étudiants commençaient à se disperser pour rejoindre leur classe et je n'ai toujours pas retrouvé Sam. De toute façon, je n'tais pas bien sûre de l'intérêt que j'aurais eu à la trouver, il ne m'aurait certainement jamais rendu mes affaires.

C'est lorsque le couloir fut presque vide que je croisais Hugo qui stoppa net devant moi.

"Woah ! T'es vraiment bonne sans soutif !"

Cela avait le mérite d'être clair : il me tutoyait officiellement et n'avait visiblement d'yeux que pour mes seins.

"Heu merci Hugo... Tu sais où sont les autres ?"

Par "les autres", j'évitais de dire que je cherchais spécifiquement Sam.

"Tout le monde est déjà en cours.

- D'accord. Et toi ?

- J'y cours M'dame !"

Et il partit d'un pas assez pressé.

J'abandonnais l'idée de récupérer mon soutien-gorge, de toute façon, la moitié du lycée avait remarqué que je n'en portais pas.

J'avais du passer pour une véritable salope dans le couloir, au point que deux élèves m'aient touché le cul. Et au lieu de m'énerver, ça me flatte... "Je ne suis pas normale" !

Machinalement j'entrais dans les toilettes (ceux à l'intérieur du bâtiment, qui donnent sur le couloir), et après avoir vérifier qu'aucune cabine n'était occupée, j'allais m'installer dans celle du fond et m'assis sur la lunette après avoir abaissé ma jupe.

Un rapide pipi et aussitôt j'entammais une masturbation de mon clito avant de m'enfoncer deux doigts dans mon minou.

Contente et excitée de profiter de cet instant privilégié, de calme, seule, mais au milieu d'un bâtiment remplis de gens qui n'imaginent pas que leur petite salope de pionne est en train de se doigter dans les toilettes. Je retirais complètement ma jupe pour pouvoir écarter les jambes au maximum et je me laissais aller pendant de longue minutes.

Je me surpris même à chercher des yeux un objet à me mettre dans la chatte, mais rien à l'horizon, pas même une brosse de toilette. Il faudrait que je pense à emporter mon gode avec moi si ma libido continue dans cette voie.

J'imaginais la grosse bite de Hugo. C'est fou ce que j'aurais donné pour qu'il vienne me la mettre dans le cul là.

Et tiens, en parlant de ça, je m'avançais un peu pour passer ma main gauche derrière moi et vins titiller mon anus.

"Mmmm !"

Un léger excès de confiance me perlit de soupirer un peu plus bryamment. Et même de murmurer :

"Va-y Sam, met-la moi dans le cul, Hugo passera par devant, mmmm".

Je passais encore un certain temps dans cette position, un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Même chose devant.

Je m'imaginais prise en double pénétration entre Sam et Hugo, peut être même que Jean nous surprendrait, peut être même Quentin !

"Oh putain ouiiii !"

Je jouis en ayant le plus grand mal à retenir mes cris.

La journée se termina sans incident, je réussi à éviter Quentin, ou du moins à éviter qu'il ne constate ma tenue et j'espèrai que personne ne lui avait fait de réflexion à mon propos.

Je ne tiens pas spécialement à ce que mon atitude de salope rejaillisse sur la scolarité de mon fils !

Les jours suivant passèrent tranquillement, si ce n'est que j'avais définitivement intégré mes séances de masturbation à ma routine.

La matin, pendant que mon fils prend son petit déjeuner, je me gode, entièrement nue, assise ou allongée sur mon lit, guettant tout de même le moment où il se lèvera. Puis je me fais jouir pendant qu'il est dans la salle de bain.

Au lycée, j'ai mille occasion de me faire du bien; parfois en m'enfermant dans une salle pré-fabriquée, parfois dans les toilettes, me risquant même de temps en temps à aller dans les toilettes des hommes, pour le goût du risque !

Et le soir, Jean s'occupe de me faire jouir avec ses doigts ou sa langue, tentant, tant bien que mal, de m'enpêcher de crier ma jouissance aux oreilles des voisins et de nos enfants.

Il m'arrive également fréquemment de me réveiller en pleine nuit, trempée et d'aller chercher mon gode pour une petite séance de plaisir nocturne.

En bref : j'étais officiellement devenue nymphomane et mes besoins sexuels se faisaient de plus en plus intenses.

Jean travaillait un peu plus, en particulier le samedi, car la Sibra expérimentait un service de bus de nuit. Je l'avais incité à postuler, de manière à arondir les fins de mois.

Quentin avait sympathisé avec Kévin, qui passait parfois à la maison. Oui, "mon" Kévin, mais je n'y voyais aucun inconvénéant. Si ça avait été Sam, j'aurais eu sans doute un peu plus de mal à rester calme !

Quant à Julie, elle rentrait de plus en plus tard des cours. J'appris de la bouche de Quentin qu'elle avait un petit ami, mais rien de plus.

Il commençait à faire froid de mais je continuais à m'habiller avec des jupes très courtes (trop courtes), et des décolletés presque indécents.

J'aime sentir l'air frais me caresser le haut des cuisses.

J'aime le fait que mon soutien-gorge soit apparent, m'imaginer que si je ne l'avais pas, mes tétons seraient largement apparents.

Tout ceci pour le plus grand plaisir des étudiants, mais aussi de certains profs, comme Sébastien, dont j'avais appris à apprécier les remarques et les gestes déplacés, ainsi que mon directeur avec qui je fleurtais presque maintenant.

Le matin j'avais l'habitude de prendre mon café avec lui. Il me complimentait sur mes courbes ou sur mes tenues, m'encourgeant presque à faire toujours plus sexy. Moi qui m'attend à me faire réprimender à chaque fois !

J'avais même le droit à des petits bisous dans le cou et à ses mains sur mes hanches souvent, mais il restait sage malgré tout. Cela suffisait cependant à réveiller la salope en moi et s'en suivait généralement une petite séance de masturbation dans les toilettes.

Un soir où je fermais les salles une à une, je m'aperçu que Sébastien était toujours en train de travailler sur son ordinateur dans sa salle de cours, presque dans le noir, à peine éclairé par sa lampe de bureau.

Il m'interpela avant même que je puisse lui dire aurevoir.

"Viens par là toi" !

Et sans trop savoir pourquoi, j'obéis. Je connaissais le personnage : direct, dragueur, un peu vulgaire mais pas méchant.

"Oui monsieur de prof de Projets Assistés par Ordinateur" ?, dis-je dans une voix sensuelle qui se voulait parodique.

"J'ai encore pas mal de choses à finir, alors viens t'assoirs, tu vas me divertir un peu.

- Te divertir ?

- Tu passes tes journées à te faire reluquer par tout le lycée comme une chienne en chaleur pendant que moi je suis bloqué derrière cet ordi. C'est injuste non ?

- Heu...

- Allez, fais pas te mijorée et ramène ton cul par ici."

J'allais pour prendre une chaise mais il me coupa dans mon élan.

"Non non, viens t'assoir sur mon bureau".

Après tout, la situation était presque drôle, on aurait dit un jeu de rôle et ça faisait bien longtemps que je n'en avais pas fait !

Je m'assis sur un coin du bureau et il m'ordonna d'écarter les jambes et de me masser les seins.

Ce que je fis, par dessus mon top.

Vu la longueur ridicule de ma jupe, je du la remonder au-dessus de mes fesses pour m'assoir les cuisses ouvertes. Je sentais le froid du bureau en bois sous mes fesses et la vue sur ma culotte devait être parfaite.

Une jolie petite culotte noire, fine, avec un peu de dentelle sur le pourtour.

Mais il continuait à taper sur son clavier, en ne me lançant quelques très rapides coups d'oeil de temps en temps.

Je me disais qu'il devait être bien en retard pour m'ignorer alors que je lui offrais un spectacle digne de préliminaires. Ou bien cherchait-il justement à m'humilier de cette manière ?

Dans tous les cas, la situation commençait à m'exciter.

Et comme s'il avait lu dans mes pensées, il m'ordonna de me caresser la chatte. J'en avais pas besoin de plus pour m'excétuter.

"Non non, je ne t'ai pas dit de caresser ta culotte, j'ai dit ta chatte. Vire moi cette culotte.

- Mmmm".

Je me mordais la lèvre inférieure en pensant à la suite des événements ! Je m'attendais à me faire sauter par le directeur d'abord, mais il se pourrait bien que ce vicieux de prof m'attrape en premier ! Dire que son comportement m'offensait il y a peu et qu'aujourd'hui, j'enlevais ma culotte pour me caresser la chatte à quelques centimètres de lui.

Il continuait à taper sur son clavier malgré tout.

"T'es une bonne salope toi.

- Mmmouii".

Que répondre d'autre de toute façon ?

"Ton fils et ton mari savent que t'es une grosse salope ?

- Mmm, j'espère pas.

- T'es vraiment une mère indigne, si ton fils te voyait !"

Ce salud touchait là où ça faisait mal ! Ou plutôt... là où ça fait du bien. En effet, parler de mon mari ou de mon fils dans un moment comme celui-ci ne faisiat que décupler mon plaisir pervers.

"Monsieur le professeur, je peux m'enfoncer mes doigts dans ma chatte de salope, s'il vous plait ?"

J'étais prise dans mon rôle et je m'impatientais de voir la suite.

"Non non, ça suffit de jouer, passe sous le bureau maintenant".

Comme une furie, je me suis jetée à quatre pattes au sol et j'ai rempée jusque sous le bureau et sans attendre j'ai défait sa ceinture et sa braguette, puis mis sa bite mi-molle dans ma bouche. J'entammais une fellation dynamique et il ne mit pas plus de quelques secondes pour bander à fond. Sa sexe n'était pas particulièrement grand ni gros, comparé à celui de Sam, par exemple, mais il étaitdéjà dur comme du bois ! Cela me change de mon mari, hihi.

Je le suçais comme une folle pendant de longues minutes et lui, il continuait à travailler, impassible.

Je me demandais même comment un mec pouvait être concentré sur son travail tout en maintenant une parfaite érection ! Il doit vraiment être pervers ce gars !

Soudain j'entendis la porte d'ouvrir à côté et le "bonsoir monsieur" avec l'accent tipique martiniquais d'une des femmes de ménage que je connaissais bien.

Elle ne me voyait pas mais il ne fallait pas qu'elle s'approche trop !

En gage d'autorité, Sébastien m'appuya sur la tête, d'une main, de manière à ce que je gobe sa bite.

Sa main sur mes cheveux m'indiquait le mouvement de sucion à suivre.

Je trouvais la situation nouvelle et tellement excitante que je me suis mise à me caresser en même temps.

La femme de ménage continuait à passer la serpillière dans la classe, tapant régulièrement dans les chaises et les bureau, faisant un bruit assourdissant qui me donnait l'occasion de déglutir discrétement.

Elle étaient maintenant très proche du bureau de Sébastien et j'espèrais malgré tout qu'elle ne s'y attarde pas. Lorsque je sentis le balais taper contre mon pied gauche. Etant donné la position de Sébastien, la femme de ménage devait se douter que ça ne pouvait pas être ses pieds à lui. D'ailleurs, il avait laissé sa main sur ma tête, me carressant les cheveux. Pas très discret, nous en conviendrons !

Comme pour me faire remarquer qu'elle savait ce qui se passait, elle resta assez longtemps à faire gisser son balais sous tout le bureau de Sébastien, me tapant plusieurs fois dans les pieds et me faisant sentir l'humidité de la serpillière sur mes genoux au sol.

Elle ne pouvait pas savoir qui j'étais de toute façon, alors je continuais ma fellation sans plus m'inquièter.

Elle quitta la pièce peu après, non sans faire un commentaire avec un sourir dans la voix :

"Je souhaite une bonne soirée et beaucoup de bien à monsieur.

- Merci Marta, je ne me gênerai pour me faire beaucoup de bien avec elle."

Et j'entendis Marta s'éloigner en rigolant.

Je devait être rouge d'avoir été ainsi humiliée, même de manière anonyme.

Sébastien baissa la tête vers moi :

"Au lieu de te masturber, sers-toi te ta main pour me masser le couilles".

Il avait dit ça assez fort, comme pour s'assurer que Marta l'entende. Son ton était très autoritaire, mais j'aimais ça.

Je m'applicais donc à lui masser les couilles et à lui faire une fellation digne d'une actrice porno, en prenant soin de beaucoup baver, alterner succion et léchage, le tout en faisant le maximum de bruit.

Je me sentais chienne et j'adorais ça !

A ce moment, je ne pensais plus du tout à mon mari, l'idée de le faire cocu ne me traversa même pas l'esprit car à ce moment précis, je n'étais plus mère de famille mais femelle en chaleur.

J'eu même l'attention de complètement baisser son jeans et son caleçon afin de ne pas les recouvrir de salive.

J'avais également en tête l'idée de me faire baiser dans un avenir très proche.

Mais il n'en fut rien !

Au bout d'une éternité, j'entendis le bruit de son ordinateur s'arrêter et il se leva de sa chaise sans me prêter la moindre attention, si bien que j'ai sursauté en sentant son sexe m'échapper.

Il rangea quelques affaires dans sa sacoche sans même m'adresser un regard.

Moi, pauvre bête, j'étais encore à quatre pattes sous le bureau, avec certainement le regard d'un chien battu implorant pour une récompense.

Lui s'était réajusté, avait remonté son jeans mais avait laissé dépasser sa queue toujours bandée.

C'était ma lueur d'espoir !

Soudain, il m'attrapa par les cheveux pour me tirer à lui tout en me maintenant au sol. Il poussa la chaise du pied, ce qui fit un vacarne assourdissant dont l'écho sembla se propager dans tout le bâtiment.

Il me tenait fermement la tête de sa main gauche tandis qu'il se branlait frénétiquement de la main droite. En bonne petite chienne, j'ai essayé de laper ses couilles ou sa bite, mais elles étaient hors de porté.

Il me fallut que quelques secondes pour comprendre qu'il venait de se vider sur mes cheveux. J'étais tellement omnubilée par mes pensées pornographiques que je n'avais pas prêté la moindre attention à d'éventuels grognements, spasmes ou quelconques signes avant-coureurs.

Il referma son jeans, éteignit la lampe de bureau et sortit de la pièce, me laissant seule, dans le noir. Il ne m'avait adressé aucun mot ni aucun regard.

Les bruits de pas s'éloignèrent jusqu'à ce qu'on entende le vrombissement de la grosse porte en bois de l'entrée qui se referma. Une goutte de sperme perlait sur mon front, coulant lentement en direction de mon nez.

J'étais totalement humiliée mais également satisfaite, un peu comme si c'était moi qui venais de jouir.


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